🌀 Comprendre la maladie selon Jean-Philippe Brébion

Une lecture symbolique du corps et de la guérison intérieure
Et si la maladie n’était pas une fatalité, mais une invitation à se reconnaitre ?
Dans son ouvrage L’Empreinte de Naissance, Jean-Philippe Brébion, fondateur de la bioanalogie, propose une approche radicalement nouvelle : la maladie n’est ni une erreur du corps, ni un hasard biologique. Elle est l’expression parfaite d’une information que nous ne vivons pas encore consciemment.
🌱 La maladie : un message du vivant, pas un dysfonctionnement
Dans la vision bioanalogique, on ne parle pas de « cause » au sens médical ou psychologique. On ne cherche pas un agent extérieur (virus, choc, stress) ni un traumatisme passé pour expliquer la maladie. La bioanalogie nous invite à changer de regard :
🔁 La maladie est un message symbolique du présent, et non une conséquence du passé.
Elle survient lorsque nous ne vivons pas pleinement une information intérieure, un aspect essentiel de notre être. Le corps, fidèle messager, exprime alors ce qui n’est pas vécu — non pas pour punir ou alerter — mais pour nous révéler à nous-mêmes.
👉 Exemple :
Une sciatique n’est pas vue comme un simple problème mécanique du nerf, mais comme un appel du corps à réexaminer notre manière d’avancer dans la vie, peut-être en portant un poids ou un choix qui ne nous appartient pas. Le symptôme nous parle, si l’on accepte d’écouter au-delà des apparences.
🔬 Notre biologie est symbolique : chaque organe a un sens
Pour Jean-Philippe Brébion, notre corps est structuré selon une logique universelle et symbolique. Rien n’est laissé au hasard. Chaque partie de notre biologie a une fonction physique bien sûr, mais aussi un langage symbolique qui reflète notre rapport à la vie.
Quelques exemples de lecture symbolique du corps :
- La peau : Elle marque notre frontière avec le monde. Un eczéma peut parler d’un conflit autour du contact ou de la séparation.
- Le foie : Il régule, trie, filtre. Un déséquilibre hépatique peut symboliser une difficulté à trier les informations ou les émotions reçues.
- Les genoux : Ils représentent la souplesse face à l’autorité ou au mouvement. Une douleur peut interroger notre capacité à nous plier, à avancer ou à faire preuve d’humilité.
Dans cette logique, la maladie est une forme d’enseignement vivant. Elle n’est jamais contre nous : elle nous parle de nous, de notre lien au monde, à nous-mêmes, à ce que nous n’osons pas encore incarner.
📘 L’Empreinte de naissance : notre mode d’emploi intérieur
Au cœur de la bioanalogie, Jean-Philippe Brébion développe un concept central : l’Empreinte de Naissance, basé notamment sur sa date de naissance. La médecine traditionnelle chinoise nous apprend que l’embryon est en résonnance avec le vécu émotionnel et le ressenti du père et de la mère et qu’il les enregistre exactement comme on enregistre une bande magnétique. C’est le programme enregistré par notre cerveau biologique qui sera reproduit indéfiniment, à l’identique.
Il s’agit donc programme issu de notre fonctionnement biologique est unique, se manifeste à chaque instant présent en révélant la structure de sens à travers chaque evénement de vie.
✨ Ce fonctionnement biologique n’est pas une prédiction ni une destinée, mais un révélateur de notre logique naturelle de fonctionnement.
Lorsque nous nous écartons de cette logique — par peur, adaptation, blessure ou oubli — des tensions apparaissent. Et c’est le corps qui envoie un signal, sous forme de symptôme. Non pas pour nous punir, mais pour nous aider à revenir à notre cohérence intérieure.
👉 Connaître son Empreinte de Naissance, c’est découvrir :
- Comment je suis naturellement fait pour vivre les événements.
- Quels messages je suis venu incarner dans cette vie.
- Pourquoi certains conflits ou répétitions reviennent sans cesse dans mon parcours.
🧭 Guérir, ce n’est pas réparer — c’est se reconnaître
Contrairement à la médecine conventionnelle qui vise à faire disparaître le symptôme, Jean-Philippe Brébion nous invite à un changement de regard fondamental.
Selon lui, la maladie n’est pas une défaillance. Elle est un acte créatif du vivant, une tentative de rétablissement de notre cohérence intérieure.
🔁 « Guérir, ce n’est pas réparer, c’est choisir de vivre, pleinement, consciemment. »
Nous ne tombons pas malades « par hasard », ni à cause de notre passé. Nous entrons en maladie lorsque nous cessons d’habiter ce que nous sommes, lorsque nous glissons dans la survie, c’est-à-dire un mode de vie basé sur l’adaptation, la peur, la volonté de faire au lieu d’Être.
« La réparation n’est pas la guérison. »
Beaucoup de pratiques visent à faire disparaître le symptôme. C’est la réparation. Mais dans la logique de la bioanalogie, cela ne suffit pas.
Guérir, au sens profond, c’est reconnaître l’information que je n’ai pas encore vécue, c’est me reconnecter à ce que je suis, et vivre pleinement cette part oubliée ou niée.
Dans l’approche bioanalogique, le corps n’agit jamais contre nous. Il ne fait pas d’erreur. Il suit une logique vivante, cohérente et parfaitement adaptée à ce que nous vivons intérieurement, même si nous n’en avons pas conscience.
🧠 Un processus automatique de compensation
Lorsque nous vivons une situation dans laquelle nous ne pouvons pas exprimer qui nous sommes vraiment, ou lorsque nous refusons de vivre une information essentielle (par peur, par habitude, ou par conditionnement), notre conscience ne l’intègre pas…
Mais la biologie, elle, prend le relais.
Elle va mettre en place un processus automatique de régulation ou de compensation, pour manifester cette information non vécue à travers un symptôme, une douleur ou une perturbation.
Par exemple :
Quelqu’un qui vit une tension intérieure permanente parce qu’il n’ose pas dire non, ou affirmer ce qu’il pense, peut développer un mal de gorge récurrent. Le corps va alors « parler » là où la personne ne s’exprime pas. C’est une réponse biologique inconsciente, mais parfaitement cohérente symboliquement.
Le corps parle en symboles vivants. Ce que nous appelons « maladie » est un mouvement de guérison, une tentative du vivant de nous réaligner avec nous-mêmes.
🛠️ La réparation biologique n’est pas une erreur, c’est une tentative d’adaptation
Ce que nous appelons « maladie » est souvent en réalité un processus de réparation ou d’adaptation du corps.
Selon cette vision, le corps ne tombe pas malade — il agit, ajuste, compense pour retrouver un équilibre. Mais cet équilibre n’est pas toujours confortable, car il révèle un désalignement intérieur.
🔁 Le corps exprime symboliquement ce que la conscience refuse de vivre.
🧠 La guérison est un choix, pas une lutte
Selon la bioanalogie : guérir, ce n’est pas combattre un symptôme, mais accueillir ce que la maladie vient nous dire.
Le véritable chemin de guérison consiste à :
- Arrêter de résister à ce qui est.
- Cesser de chercher à « faire » pour aller mieux.
- Choisir d’ÊTRE pleinement, ici et maintenant.
La guérison commence lorsque je laisse couler la vie en moi, sans me crisper, sans vouloir diriger, sans me juger. Cela demande de la présence, de l’écoute, de la conscience — pas de la volonté.
🧬 Une mémoire biologique fidèle au présent
Contrairement aux approches psychanalytiques classiques, la bioanalogie ne cherche pas les « causes passées » de nos maladies. Pour Jean-Philippe Brébion, le corps ne stocke pas les traumatismes passés : il manifeste une information qui n’est pas vécue ici et maintenant.
Et comme notre biologie fonctionne hors du temps psychologique, elle n’interprète pas : elle agit directement à chaque fois que nous nous éloignons de notre cohérence naturelle.
La vraie guérison est un acte de conscience, pas de correction. Elle ne vient pas de l’extérieur, mais d’un alignement intérieur, d’un retour à notre nature profonde.
✨ Une vision libératrice de la santé
Le principe de la maladie selon la bioanalogie est une réconciliation avec la vie. Il nous permet de :
- Voir le symptôme non comme un ennemi, mais comme un messager du vivant.
- Sortir de la dualité « maladie = problème / guérison = disparition ».
- Redonner à chacun la responsabilité de sa vie, sans culpabilité, sans dogme.
🌟 « Le corps ne fait jamais d’erreur. Il manifeste toujours avec cohérence ce que nous sommes. »
👂 Le thérapeute en bioanalogie : un passeur, pas un soigneur
Dans cette démarche, le rôle du thérapeute n’est ni de poser un diagnostic ni de “guérir” à la place de la personne. Il est accompagnant, interprète du symbolique, passeur de sens.
Son travail est d’aider la personne à :
- Écouter ce que la vie exprime à travers son corps,
- Décoder le message symbolique du symptôme,
- Retrouver sa cohérence de vie personnelle.
💡 Dans ma pratique, j’intègre la bioanalogie avec des outils comme la sonothérapie (travail par le son), le soin quantique (l’intrication et reliance au champ des possibles)et l’art créatif (l’expression par la création), pour permettre à chacun — adulte comme enfant — de recontacter son intériorité de manière douce et vivante.
🎯 Une approche pour qui ?
La bioanalogie peut s’adresser à :
- Toute personne en recherche de sens face à une maladie ou une épreuve,
- Ceux qui vivent des répétitions ou des conflits chroniques,
- Celles et ceux qui veulent se reconnecter à leur nature profonde, en dehors des jugements et des normes,
- Les parents qui souhaitent comprendre les symptômes émotionnels ou physiques de leur enfant avec une autre grille de lecture.
💡 En résumé
🔍 Clé de lecture bioanalogie | 🌱 Sens |
---|---|
La maladie | Une information non vécue dans le présent |
Le corps | Un messager symbolique, jamais un ennemi |
L’empreinte de naissance | Le programme unique de vie |
Le thérapeute | Un guide vers la conscience, pas un guérisseur |
La guérison | Une reconnaissance de soi, pas une réparation |
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