La théorie polyvagale de Porges : principes, bienfaits et accompagnement

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Article à lire: « Théorie polyvagale & bioanalogie: quand le corps parle, le vivant fait sens », cliquez ici

La théorie polyvagale, développée par le neuroscientifique américain Stephen Porges, révolutionne notre compréhension du système nerveux autonome et de la manière dont nous réagissons au stress, au traumatisme et à la relation. Cette approche scientifique, profondément humaine, met en lumière le rôle essentiel du nerf vague dans la régulation de nos émotions, notre perception de la sécurité, et notre capacité à nous reconnecter à nous-mêmes.

En tant praticienne à la théorie polyvagale, je m’appuie sur cette prarique pour accompagner enfants, adolescents et adultes sur le chemin de la résilience, en combinant les approches corporelles, sonores et vibratoires. Dans cet article, je vous propose de découvrir les fondements de la théorie polyvagale, ses principes essentiels, ses bienfaits tant sur nos états émotionnelles psychiques que physiques.

Qu’est-ce que la théorie polyvagale ?

La théorie polyvagale est une approche novatrice qui explore comment notre système nerveux autonome (SNA) influence notre comportement, nos émotions et notre rapport aux autres. Contrairement à l’idée traditionnelle d’un système nerveux à deux branches (sympathique et parasympathique), Stephen Porges a démontré qu’il existe trois circuits neurobiologiques qui s’activent en fonction de notre perception de sécurité ou de danger.

Cette théorie met en avant l’idée que notre corps scanne en permanence notre environnement, de manière inconsciente, à la recherche de signes de sécurité ou de menace. Ce processus, appelé neuroception, détermine si nous restons calmes, si nous nous mettons en alerte, ou si nous nous replions sur nous-mêmes.

La théorie polyvagale offre donc une nouvelle lecture des troubles du stress, de l’anxiété, des traumas, et de nombreuses difficultés émotionnelles et relationnelles.

Quelles sont les origines et les bases scientifiques de la théorie polyvagale ?

La théorie polyvagale a été proposée au début des années 1990 par Stephen Porges, chercheur en neurosciences et spécialiste de la neurophysiologie du système nerveux autonome. Ses recherches ont mis en évidence le rôle central du nerf vague, le dixième nerf crânien, qui relie le cerveau au cœur, aux poumons, aux organes digestifs et à d’autres structures vitales.

La théorie polyvagale repose donc sur des bases scientifiques solides, tout en offrant des applications thérapeutiques concrètes dans les domaines de la psychologie, de la pédagogie, des approches énergétiques et corporelles.

Quels sont les grands principes de la théorie polyvagale ?

Traditionnellement, on parle de deux branches dans le système nerveux autonome (SNA) : le système sympathique, qui mobilise l’organisme pour l’action (combat ou fuite), et le système parasympathique, qui favorise le repos et la digestion. La théorie polyvagale enrichit ce modèle en ajoutant une dimension essentielle : la hiérarchie des réponses autonomes selon la perception de sécurité.

💡 Le système nerveux autonome est bien plus qu’un régulateur automatique. Il est l’interface psyché-soma, impliqué dans toutes nos actions, comportements, sensations et pensées. Véritable pont entre l’esprit et le corps, il influence notre manière d’aimer, de créer, de réagir, de percevoir le monde…

Stephen Porges identifie trois circuits autonomes majeurs :

  1. 🔵 Le système vagal ventral : relié à la sécurité, la connexion sociale, la régulation émotionnelle et la communication. C’est le circuit du calme, de l’ouverture et de la présence.
  2. 🔴 Le système sympathique : activé en cas de danger perçu, il prépare au combat ou à la fuite. Il correspond à une activation du stress.
  3. Le système vagal dorsal : archaïque, il s’enclenche face à une menace extrême. Il provoque le figement, la dissociation ou l’effondrement (shutdown).

Cette compréhension hiérarchique explique pourquoi nous pouvons passer d’un état de calme à un état de panique, ou d’un état d’anxiété à un repli profond, souvent sans comprendre pourquoi.

Ce modèle permet de mieux comprendre comment les personnes ayant vécu des traumatismes ou des situations de stress chronique peuvent rester bloquées dans des états de survie, même en l’absence de danger réel.

Comment la neuroception influence-t-elle nos réactions ?

La neuroception est un concept central de la théorie polyvagale. Il s’agit de la capacité du système nerveux à détecter automatiquement, et en dehors de notre conscience, si l’environnement est sûr, menaçant ou dangereux.

Contrairement à la perception (consciente), la neuroception est instinctive et immédiate. Elle peut être influencée par :

  • le ton de voix,
  • le regard d’une personne,
  • les bruits ambiants,
  • la posture corporelle,
  • les signaux sociaux.

Un environnement perçu comme sûr active le système vagal ventral, nous permettant d’être en lien avec les autres, de réfléchir, de ressentir et de créer. En revanche, si la neuroception perçoit un danger, même minime ou non réel, elle déclenche automatiquement une réaction de survie : combat, fuite ou figement.

Chez les personnes ayant vécu un traumatisme, la neuroception est souvent altérée. Elles peuvent percevoir le monde comme menaçant, même dans des contextes neutres, et rester bloquées dans des états de stress ou de dissociation.

En quoi la corégulation joue-t-elle un rôle dans le bien-être ?

La corégulation est le processus par lequel deux systèmes nerveux interagissent pour se réguler mutuellement. C’est un besoin fondamental, dès la naissance, et tout au long de la vie.

Chez l’enfant, la régulation émotionnelle ne peut s’apprendre que dans une relation sécurisante avec un adulte régulé lui-même. Chez l’adulte, la présence empathique et stable d’un thérapeute, d’un proche ou d’un guide permet également de sortir des états de survie.

La corégulation est donc le socle de la sécurité relationnelle. Elle passe par :

  • une écoute bienveillante,
  • un regard accueillant,
  • une voix douce et rassurante,
  • un contact physique respectueux,
  • une présence stable et cohérente.

Elle active le système vagal ventral, réduisant le stress et favorisant la confiance, la détente, l’ancrage corporel et la guérison des blessures émotionnelles.

La variabilité du rythme cardiaque : Le langage physiologique de la sécurité

la variabilité du rythme cardiaque (VRC) est un indicateur direct de l’état neurophysiologique d’un individu. Elle reflète, notamment, le tonus du nerf vague, et plus précisément la capacité du système à passer d’un état de défense à un état de sécurité sociale.

1. Système ventral vagal (parasympathique myélinisé)

  • Origine : noyau ambigu
  • Fonction : régulation sociale, sécurité, engagement
  • Réponse : calme, communication, co-régulation
  • Lien avec la VRC : Tonus vagal élevé = VRC élevée

2. Système sympathique

  • Origine : moelle thoracique
  • Fonction : mobilisation, protection active
  • Réponse : lutte, fuite, hypervigilance
  • Lien avec la VRC : VRC abaissée, rythme cardiaque accéléré

3. Système dorsal vagal (parasympathique non myélinisé)

  • Origine : tronc cérébral
  • Fonction : immobilisation, figement, conservation de l’énergie
  • Réponse : repli, shutdown, dissociation
  • Lien avec la VRC : VRC faible, bradycardie possible, effondrement

La neuroception (perception inconsciente de sécurité ou de menace) détermine quel circuit s’active en priorité.

Le nerf vague et la variabilité du rythme cardiaque

Le nerf vague (10e nerf crânien) est au cœur de la régulation autonome. Il possède des fibres afférentes (80%) et efférentes (20%), reliant le cerveau au cœur, aux poumons, au tube digestif et au visage.

La VRC mesure la fluctuation des intervalles entre les battements cardiaques (intervalles R-R). Elle est fortement influencée par :

  • le tonus vagal ventral,
  • la respiration (notamment la RSA : respiratory sinus arrhythmia),
  • l’état émotionnel et relationnel de la personne.

Une VRC élevée indique un système nerveux flexible, capable d’osciller entre engagement et mobilisation selon le contexte. Elle est donc un marqueur fiable de résilience autonome.

Application clinique et corporelle

Dans une approche corporelle inspirée de la théorie polyvagale (comme celle développée par Éric Marlien), la VRC devient un indicateur d’état précieux :

VRCLecture polyvagaleConséquence clinique
Élevée et cohérenteActivation du vague ventralRégulation, présence, engagement social
Faible et instableDomination sympathique ou dorsaleStress, figement, désengagement, trauma

Les pratiques favorisant une stimulation douce du nerf vague ventral (respiration lente, mouvements rythmés, vocalisations, contact sécurisant) ont démontré leur capacité à augmenter la VRC.

La variabilité du rythme cardiaque est bien plus qu’un indice physiologique : elle est un reflet du dialogue entre le cœur, le cerveau et la relation. Grâce à la théorie polyvagale, nous comprenons que le nerf vague, loin d’être un simple câble parasympathique, est un véritable médiateur de sécurité et de connexion.

Observer et soutenir la VRC dans une perspective polyvagale, c’est accompagner l’individu vers plus de régulation, de présence et de lien – c’est-à-dire vers un état où la vie peut être vécue pleinement.

Quels bienfaits apporte l’approche polyvagale ?

La théorie polyvagale offre une grille de lecture puissante pour comprendre comment le stress chronique ou l’anxiété peuvent désorganiser notre système nerveux. En identifiant les états autonomes (sécurité, mobilisation, figement), on peut apprendre à les reconnaître et à les réguler.

L’approche polyvagale permet de :

  • repérer les signes corporels du stress (tension, respiration bloquée, agitation),
  • comprendre que ces réactions sont automatiques, non choisies, mais adaptatives,
  • apprendre à activer le système vagal ventral pour retrouver un état de calme et de sécurité intérieure.

En combinant exercices de respiration, ancrage, mouvements doux, sonothérapie ou pleine conscience, il est possible d’aider le système nerveux à sortir des états de survie et à revenir à un état de stabilité. Cela réduit les symptômes liés à l’anxiété comme l’insomnie, les pensées envahissantes ou les réactions émotionnelles excessives.

Comment favorise-t-elle la résilience émotionnelle ?

La résilience émotionnelle est la capacité à faire face aux défis de la vie sans se laisser submerger, tout en gardant un lien à soi, aux autres et à ses ressources. La théorie polyvagale soutient cette résilience en renforçant notre capacité à revenir à un état d’équilibre après un stress ou un événement difficile.

Grâce à une meilleure connaissance des états du système nerveux, on peut :

  • normaliser nos réactions (elles ne sont pas des faiblesses, mais des réponses biologiques),
  • apprendre à revenir plus rapidement à un état de calme après une perturbation,
  • développer des ressources internes (respiration, auto-compassion, visualisation, mouvements régulateurs),
  • s’appuyer sur des ressources externes (relation thérapeutique, lien social, environnement sécure).

Cette approche aide aussi à ne plus s’identifier à ses symptômes, mais à les voir comme des messages du corps, ouvrant un chemin de transformation en profondeur.

De quelle manière soutient-elle la reconnexion à soi et les processus de guérison ?

Dans de nombreux accompagnements — en particulier après un traumatisme, une période de burn-out, ou une déconnexion émotionnelle — l’objectif premier est souvent de se reconnecter à soi-même.

La théorie polyvagale agit ici comme un véritable guide de reconnexion. En aidant le système nerveux à se sentir en sécurité, elle permet :

  • de revenir dans son corps en douceur,
  • de ressentir ses émotions sans être submergé(e),
  • d’écouter ses besoins profonds,
  • de retrouver un sentiment d’unité et d’intégrité intérieure.

Cette reconnexion ouvre naturellement la voie aux processus de guérison physique, émotionnelle et énergétique. Elle renforce la capacité à faire des choix alignés, à s’aimer tel que l’on est, et à avancer avec plus de sérénité sur son chemin personnel.

Le nerf vague ventral, activé dans les états de sécurité relationnelle et d’ouverture, agit en synergie avec le cœur. Leur coopération est essentielle : le cœur envoie au cerveau des signaux de régulation via le nerf vague, renforçant ainsi l’état de calme et d’équilibre. Ce lien profond entre cohérence cardiaque et régulation vagale ouvre la voie à une véritable résonance corps-esprit.

Cette vision rejoint certains enseignements de la bioanalogie de Pierre Brébion, qui considère que chaque manifestation du corps — émotion, tension, maladie — est un langage du vivant, une empreinte de sens unique. En écoutant les signaux du système nerveux et en les mettant en lien avec notre vécu, nos perceptions, notre histoire, nous pouvons entamer un chemin de compréhension profonde de soi. voir article

En quoi la stimulation du nerf vague ventral est-il un levier puissant contre l’inflammation?

Un aspect fondamental de la théorie polyvagale, souvent méconnu, concerne l’impact de la stimulation du nerf vague, et plus particulièrement de sa branche ventrale, sur le système immunitaire et les processus inflammatoires dans le corps. Cette stimulation agit comme un régulateur naturel capable d’induire un état de calme profond, qui va bien au-delà de la simple gestion du stress émotionnel.

Pourquoi la stimulation du nerf vague ventral réduit-elle l’inflammation ?

Le nerf vague ventral, en plus d’être le moteur de la connexion sociale et de la régulation émotionnelle, joue un rôle clé dans la modulation du système nerveux parasympathique. Cette branche ventrale est directement reliée aux organes vitaux impliqués dans la réponse immunitaire : cœur, poumons, et système digestif.

Lorsque le nerf vague ventral est activé, il induit un effet anti-inflammatoire grâce à plusieurs mécanismes :

  • Inhibition de la libération excessive de cytokines pro-inflammatoires : Ce sont des molécules responsables de l’inflammation chronique, souvent à l’origine de nombreuses maladies (auto-immunes, douleurs chroniques, troubles métaboliques…).
  • Activation de la voie cholinergique anti-inflammatoire : Cette voie biochimique permet au système nerveux d’envoyer un signal « stop » aux réactions inflammatoires excessives.
  • Amélioration de la variabilité de la fréquence cardiaque (VFC), indicateur de la santé du système nerveux autonome, associée à une meilleure gestion du stress et une meilleure capacité de récupération physique.

Cette modulation neuro-immunitaire signifie que la stimulation régulière et adaptée du nerf vague ventral peut aider à réduire durablement les inflammations dans le corps, contribuant ainsi à la prévention et à l’amélioration de nombreux états pathologiques.

La clé réside dans une stimulation douce, progressive et respectueuse des limites individuelles.

Ainsi les pratiques doivent toujours respecter la dynamique naturelle du système nerveux, en évitant toute forme de sur-stimulation qui pourrait, au contraire, augmenter le stress et la réaction inflammatoire. C’est pourquoi ses approches privilégient :

  • La respiration cohérente et diaphragmatique,
  • Le chant et les vocalisations harmoniques,
  • stimulation auditive
  • Les exercices de relaxation adaptés au rythme de chaque personne.
  • Mouvements doux
  • La vibration corporelle agit directement sur les fascias, le système nerveux périphérique et les centres énergétiques.
  • Le son de la voix humaine (parole douce, chant intuitif, mantras) renforce le lien et la corégulation.

Le corps possède une sagesse innée : il faut donc toujours accompagner la stimulation du nerf vague avec écoute, bienveillance et patience, pour permettre un rééquilibrage durable.

La fréquence, la vibration et l’intention sont perçues par le corps comme des messages de sécurité. Cela fait du son un médium puissant pour réinformer positivement le système nerveux.

Les aspects thérapeutiques:

🧩 Étapes🔍 Description🎯 Objectif / Clé de lecture
1. Point de départ
(Trauma / stress / conflit)
À partir :
– d’un traumatisme vécu
– d’un conflit actuel ou récent
– d’une situation stressante ou émotionnellement difficile
Identifier la réponse autonome « à ce qui s’est passé »
2. Traduction psycho-neuro
(Cognition / Affects / Récit)
Traduire :
– la cognition
– les affects
– “le récit que l’on se raconte”
Mettre en lien avec les états du système nerveux autonome :
3. Application thérapeutique
(Protocole adapté)
Application selon l’état du système nerveux :
– Thérapie sonore…
– Outils de régulation
– Sécurisation
Restaurer un état de régulation, de sécurité intérieure, et de cohérence entre le vécu, le corps et le mental.

Les pratiques:

  • 🌿 Toucher thérapeutique conscient : informe le corps qu’il est en sécurité.
  • 🌿 Auto-massages ou mobilisations douces : favorisent la proprioception et le retour au corps.
  • 🌿 La cohérence cardiaque: diminue les stimuli nociceptifs ou les signaux de dangers vers les centres supérieures.
  • 🌿 Points des méridiens : stimulation par vibration (diapason) ou manuel
  • 🌿 Postures d’ancrage et d’alignement : reconnectent à la stabilité intérieure.

Les pratiques méditatives et la pleine conscience sont particulièrement compatibles avec l’approche polyvagale, à condition qu’elles soient adaptées au niveau de sécurité intérieure de la personne. Leur objectif n’est pas de « forcer » le calme, mais de favoriser une présence douce, sans jugement, face à ce qui est vécu.

Les bienfaits:

  • Se désidentifier: Apprendre à observer les sensations, les pensées, les émotions sans s’y identifier.
  • Cultiver un état de présence régulée, soutenu par le souffle et le corps.
  • Favoriser la descente du mental vers une écoute corporelle subtile.

Quant à la connexion à la nature, elle est naturellement régulatrice : les sons doux, les couleurs, les mouvements du vent ou de l’eau sont des stimuli sécurisants pour le système nerveux. Marcher pieds nus, observer un arbre, écouter les oiseaux… sont des pratiques simples mais puissantes pour réactiver le nerf vague et retrouver un état d’unité.

Un accompagnement basé sur la sécurité relationnelle, la créativité et l’écoute du rythme de l’enfant crée les conditions favorables à son développement émotionnel.

La théorie polyvagale n’est pas seulement un modèle scientifique ; c’est une porte d’entrée vers une transformation intérieure profonde. En offrant une compréhension claire du fonctionnement de notre système nerveux, elle nous apprend à :

  • écouter les signaux subtils de notre corps,
  • identifier nos états internes sans jugement,
  • revenir à un état de calme, de sécurité et de confiance.

Grâce à cette approche, chacun peut développer une résilience ancrée, qui ne repose pas sur le contrôle ou la force mentale, mais sur la capacité du corps à se réguler naturellement.

Conclusion : Revenir à soi, pas à pas

Dans un monde souvent rapide, bruyant et déconnecté, la théorie polyvagale nous rappelle que la sécurité intérieure est la clé du mieux-être. Que ce soit chez l’enfant, l’adolescent ou l’adulte, chacun peut apprendre à reconnaître ses états de stress, à les accueillir avec douceur, et à retrouver un ancrage dans le corps, dans le cœur et dans le présent. Revenir à soi, c’est apprendre à écouter les messages subtils de son système nerveux, comprendre que chaque réaction corporelle est une expression d’un besoin plus profond, et renouer avec cette intelligence biologique pleine de sens, comme le propose la bioanalogie : le vivant ne fait jamais d’erreur, il parle un langage à décoder.

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